Les manches en bois

En coutellerie, les manches – ou côtes – nécessitent une attention particulière sur le choix du bois utilisé.

J’ai choisi de travailler essentiellement le frêne et le noyer que je stabilise à la résine végétale ainsi que l’olivier.

Leur dureté et leur remarquable tenue naturelle face à l’humidité donnent des manches stables et durables.

Par ailleurs, ces bois sont présents naturellement dans l’Hexagone depuis des milliers d’années.

*

Les essences de bois dites exotiques ont quant à elles des particularités de résistance incomparable.

En effet, leur tenue aux chocs est très élevée, et face à l’humidité elles restent exceptionnellement stables.

Cependant, il est plus difficile de connaître réellement les critères éthiques de leur exploitation forestière.

Je travaille donc ces bois de manière plus ponctuelle, sur demande par exemple.

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Les aciers

De nombreux alliages existent, et chacun a des caractéristiques différentes d’utilisation:

– Les aciers comportant un taux de carbone élevé s’affûteront plus difficilement au quotidien.

Cependant, la tenue de leur tranchant sera durable. Ils sont utilisés pour réaliser les rasoirs dit coupe-choux par exemple…

– Les aciers dont la teneur en carbone est moins élevée s’affûteront plus facilement.

Leur emploi sera entre autres adapté à un usage alimentaire quotidien.

*

L’efficacité du tranchant d’une lame dépend également de l’angle d’affûtage:

Plus celui-ci est élevé, plus la lame sera tranchante, comme pour les couteaux de cuisine.

A l’inverse un couteau d’extérieur n’a pas besoin d’un tranchant aussi fin.

*

L’entretien de certaines lames en acier demande un graissage régulier, afin d’éviter une oxydation incontrôlée.

D’autres aciers, comme les « inox » n’ont pas besoin d’être graissés car leur forte teneur en nickel leur évite toute oxydation.

Choisir un acier est une tâche délicate, tout dépendra de l’utilisation que vous en ferez.

On pourrait dire que cela revient à choisir « l’âme » de votre couteau.

 

Mes aciers

J’ai choisi de travailler deux aciers en particulier :

 

X50CrMoV15, dit acier Germanique.

Cet acier inoxydable, vous donnera entière satisfaction au quotidien.

Il est alimentaire, possède une bonne tenue de coupe et son entretien est simple.

Il supporte bien l’eau, ainsi que les aliments acides tels que les tomates, les agrumes, les piments, etc.

*

XC75, une valeur sûre en coutellerie.

C’est un acier oxydable donnant des tranchants faciles à entretenir et durables.

Il doit être séché et graissé régulièrement.

Une patine naturelle recouvrira la lame au fil des années pour lui conférer encore plus de cachet.

 

 

Les manches en bois

En coutellerie, les manches – ou côtes – nécessitent une attention particulière sur le choix du bois utilisé.

J’ai choisi de travailler essentiellement le chêne, le noyer et l’olivier.

Leur dureté et leur remarquable tenue naturelle face à l’humidité donnent des manches stables et durables.

Par ailleurs, ces bois sont présents naturellement dans l’Hexagone depuis des milliers d’années.

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Les essences de bois dites exotiques ont quant à elles des particularités de résistance incomparable.

En effet, leur tenue aux chocs est très élevée, et face à l’humidité elles restent exceptionnellement stables.

Cependant, il est plus difficile de connaître réellement les critères éthiques de leur exploitation forestière.

Je travaille donc ces bois de manière plus ponctuelle, sur demande par exemple.

Les aciers

De nombreux alliages existent, et chacun a des caractéristiques différentes d’utilisation:

– Les aciers comportant un taux de carbone élevé s’affûteront plus difficilement au quotidien.

Cependant, la tenue de leur tranchant sera durable. Ils sont utilisés pour réaliser les rasoirs dit coupe-choux par exemple…

– Les aciers dont la teneur en carbone est moins élevée s’affûteront plus facilement.

Leur emploi sera entre autres adapté à un usage alimentaire quotidien.

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L’efficacité du tranchant d’une lame dépend également de l’angle d’affûtage:

Plus celui-ci est élevé, plus la lame sera tranchante, comme pour les couteaux de cuisine.

A l’inverse un couteau d’extérieur n’a pas besoin d’un tranchant aussi fin.

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L’entretien de certaines lames en acier demande un graissage régulier, afin d’éviter une oxydation incontrôlée.

D’autres aciers, comme les « inox » n’ont pas besoin d’être graissés car leur forte teneur en nickel leur évite toute oxydation.

Choisir un acier est une tâche délicate, tout dépendra de l’utilisation que vous en ferez.

On pourrait dire que cela revient à choisir « l’âme » de votre couteau.

Mes aciers

J’ai choisi de travailler deux aciers en particulier :

XC75, une valeur sûre en coutellerie.

C’est un acier oxydable donnant des tranchants faciles à entretenir et durables.

Il doit être séché et graissé régulièrement.

Une patine naturelle recouvrira la lame au fil des années pour lui conférer encore plus de cachet.

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X50CrMoV15, dit acier Germanique.

Cet acier inoxydable, vous donnera entière satisfaction au quotidien.

Il est alimentaire, possède une bonne tenue de coupe et son entretien est simple.

Il supporte bien l’eau, ainsi que les aliments acides tels que les tomates, les agrumes, les piments, etc.